Dans un essai intitulé le « Front du mépris », Bérenger Boureille, un professeur de Lettres, revient sur la prise de pouvoir du Front national dans sa commune de l’ouest parisien, Mantes-la-Ville. Interrogeant les responsabilités des politiques publiques et des élus locaux qui se sont succédés depuis 30 ans, il démonte les mécanismes d’abandon et de rupture de la gauche avec la classe ouvrière. Et analyse sans complaisance la gestion de l’équipe en place depuis les élections de 2014, basée sur l’investissement zéro, l’assèchement indistinct des services et équipements publics, la régression sociale… à Mantes comme dans les dix autres municipalités gagnées par le parti aux dernières municipales.
Pour en savoir plus :
– Bondy Blog – du 28 avril 2017