Depuis treize ans déjà, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale et l’université Paris VI observent une prévalence de l’insécurité alimentaire plus élevée dans les quartiers classés en zone urbaine sensible (14,4%) que dans les autres (5,3%). Dix ans plus tard, cette problématique est remise en lumière lors de la pandémie de la Covid-19.
Publié dans : Partenaires, Vu ailleurs