Les banlieues françaises font la une de la presse lorsque l’émeute éclate ou lors des commémorations de cette dernière. Comme, fin octobre, dix ans après les événements de Clichy-sous-Bois. Par effraction. Le reste du temps, elles sont enfermées dans l’angle mort du traitement médiatique, et convoquées, de temps à autre, sous la thématique justice et police.
Les politiques publiques en direction de ces quartiers ignorent la dimension médiatique, source d’une image désastreuse, très éloignée de la réalité quotidienne de ces territoires. Le poids des clichés, le choc de la stigmatisation…
Pour en savoir plus :
– http://bondyblog.liberation.fr – du 9 novembre 2015
Publié dans : Vu ailleurs