Les écoliers auraient-ils du mal à tenir les nouveaux rythmes scolaires ? Et la réforme Peillon, censée favoriser leur concentration et leurs capacités d’apprentissage en tenant compte de la répartition des activités au fil de la journée et de la semaine… jouerait-elle finalement dans le sens inverse de celui voulu par le législateur ? L’actuelle ministre de l’Éducation nationale répond par la négative mais les études qui viennent de lui être remises apportent des réponses pour le moins contradictoires à la question. L’article cité en référence permet d’y regarder de plus près. Il invite sans doute aussi les acteurs locaux de l’éducation à mieux prendre en compte ce phénomène de « fatigue des élèves ». Et plaide à court ou moyen terme, pour une investigation scientifique dédiée sur le sujet…
Pour en savoir plus :
– http://www.lemonde.fr – du 17 juin 2016