La contractualisation entre l’État et les départements (et certaines métropoles) dans le cadre de la stratégie Pauvreté révèle de nombreux points faibles, estime l’Igas dans un rapport : processus administratif et budgétaire peu adapté, utilisation des crédits pour financer des actions habituelles… Des avancées sont toutefois constatées, dont des changements de pratiques et un renforcement des liens État-collectivités. Une vingtaine de recommandations sont formulées. En tout cas, le renouvellement de la démarche en 2022 est jugé pertinent.
Publié dans : Institutions, Vu ailleurs