La Société civile des éditeurs de langue française (Scelf) suspend, pour une durée de cinq ans renouvelable, sa décision prise en 2017 de percevoir les droits de représentation sur les œuvres publiées par ses adhérents, lorsque ces œuvres sont lues par leurs auteurs eux-mêmes, ou lorsqu’elles sont lues dans le cadre de manifestations gratuites des bibliothèques.
« Souhaitant soutenir les bibliothèques dans leur mission de diffusion de la lecture, la Scelf, au nom des éditeurs qui l’ont mandatée, accepte de suspendre la perception relative à ce droit pendant une durée de cinq ans », a-t-elle fait savoir dans un communiqué du 18 janvier. La Scelf était engagée depuis 18 mois dans une concertation avec l’Association des bibliothécaires de France (ABF), sous l’égide du ministère de la Culture, en vue de donner un cadre juridique aux lectures publiques pratiquées en bibliothèques.
Pour en savoir plus : La Gazette des communes / Localtis – du 22 janvier 2018
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