Être condamné à un travail d’intérêt général permet d’éviter l’emprisonnement, mais aussi de pouvoir se réinsérer dans la société. C’est, en tout cas, la conviction de l’association Reconstruire ensemble, à Mainvilliers, qui a accueilli douze personnes depuis 2012. « On a constaté une prise de conscience, par ce biais, d’une peine à effectuer, souligne le directeur, Bernard Monguillon. C’est structurant. »
Pour en savoir plus : L’Echo républicain – du 19 février 2019
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