« Cesser d’avoir des hôpitaux qui ressemblent à des usines en manque de personnel » ; « Rétablir la police de proximité afin de redonner un lien de confiance entre police et quartier » ; « Tout le monde devrait payer l’impôt » ; « Il est inadmissible que nous devions travailler jusqu’à 62 ans alors que les jeunes n’ont plus de travail »…
Quand on leur demande de s’exprimer, les habitants des banlieues populaires ont finalement des revendications assez proches de celles qu’on entend s’exprimer partout en France, dans le cadre des débats nationaux. En témoignent ces citations extraites des cahiers de doléances mis en place par la mairie de Grigny (Essonne), l’une des villes les plus pauvres de France.
Pour en savoir plus : La Croix – du 04 février 2019