Moches, dégradés, mal conçus… Les grands ensembles souffrent d’une mauvaise réputation, souvent injustifiée. «Libération» passe au crible huit idées reçues…. Non, ce n’est pas une aberration urbaine.
Loin d’être une absurdité, les grands ensembles ont plutôt été une solution à la crise urbaine qui couvait dans la France des Trente Glorieuses. Les villes faisaient alors face à l’arrivée massive de populations de l’exode rural, de rapatriés d’Algérie ou de travailleurs immigrés dont avait besoin l’industrie – laquelle créait 150 000 emplois en moyenne par an. Or, au début des années 50, l’Hexagone compte à peine 12,7 millions de logements.
Pour en savoir plus :
– http://www.liberation.fr – du 7 octobre 2015
Publié dans : Vu ailleurs