Si des recruteurs parviennent à fanatiser des Français désormais prêts à mourir et à tuer, ce serait parce que ces jeunes ont une longue expérience de la violence. A la banalisation de la mort des années 80, liée à la drogue, au sida ou aux suicides, a succédé dans ces quartiers une banalisation du meurtre.
Pour en savoir plus : Libération – du 03 juin 2018
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