Des associations d’élus, maires et présidents d’agglomération tentent de réveiller une Politique de la ville anesthésiée pour ne pas dire en état de mort cérébrale, appelant l’Etat à panser au plus vite les plaies des quartiers les plus pauvres. Et ne plus se contenter du service minimum, à l’heure où le portefeuille de la Ville n’est pas encore attribué dans le gouvernement Attal…