Des élus de tous bords politiques dépeignent un climat anxiogène dans les quartiers populaires, fortement touchés par la hausse des prix de l’énergie. Ils attendent un soutien de l’État pour accompagner ces territoires à peine remis de la crise liée au Covid-19.
Gilles Leproust, en ce moment, ne dort pas très bien. Cette semaine, le maire communiste d’Allonnes (Sarthe) doit présenter en conseil municipal une modification de son budget primitif. La raison : 600 000 euros de frais supplémentaires prévus « à cause des dépenses d’énergie dans nos bâtiments publics, qui explosent », sur un budget total de 17 millions d’euros.
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