Ce projet devait être détaillé mercredi en conseil des ministres. Les syndicats voient dans l’inaction des politiques un enterrement de première classe. « Rien d’étonnant », répète-t-on sur le terrain de l’école, où l’on a accueilli sans ciller, mercredi 6 mars, le report du plan contre les violences scolaires promis par le gouvernement. Annoncé dans le sillage de l’agression, fin octobre, d’une enseignante de l’académie de Créteil menacée avec une arme factice par l’un de ses élèves, le volet de mesures porté par quatre ministères (éducation nationale, justice, santé et intérieur) devait être détaillé en conseil des ministres. L’agenda a finalement été modifié, entérinant un quatrième report.Ce projet devait être détaillé mercredi en conseil des ministres. Les syndicats voient dans l’inaction des politiques un enterrement de première classe. « Rien d’étonnant », répète-t-on sur le terrain de l’école, où l’on a accueilli sans ciller, mercredi 6 mars, le report du plan contre les violences scolaires promis par le gouvernement. Annoncé dans le sillage de l’agression, fin octobre, d’une enseignante de l’académie de Créteil menacée avec une arme factice par l’un de ses élèves, le volet de mesures porté par quatre ministères (éducation nationale, justice, santé et intérieur) devait être détaillé en conseil des ministres. L’agenda a finalement été modifié, entérinant un quatrième report.
Pour en savoir plus : Le Monde – du 06 mars 2019