Les élus locaux réaffirment, à l’occasion du Congrès des maires, leur crainte d’une étatisation de la sécurité locale. Quelques mois après le lancement de la police de sécurité du quotidien, ils disent ne pas en voir les effets. Quant à l’information dont les maires peuvent désormais bénéficier concernant les personnes radicalisées, ils affichent leur satisfaction mais s’interrogent sur l’attitude à adopter une fois informés.
Pour en savoir plus : La Gazette des communes – du 21 novembre 2018
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