Pour les banlieues, déployons une nouvelle politique de la ville visant à encourager la libre initiative. Nos quartiers souffrent d’une image déplorable. L’attention des médias se fixe sur leurs difficultés et les explications avancées sont souvent dégradantes. A la vision accusatrice, qui résume la banlieue à la délinquance, répond la pensée victimaire qui la réduit à l’assistanat. Pourtant, il n’est qu’à se rendre à Nanterre (Hauts-de-Seine), Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ou Sartrouville (Yvelines) pour trouver tout ce qui en fait la richesse.
Pour en savoir plus : Les Echos – du 16 avril 2018
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