Malgré les politiques incitatives développées depuis plusieurs années, la mobilité internationale touche encore trop peu les « jeunes ayant le moins d’opportunités ». En effet, les jeunes cumulant plusieurs obstacles (en termes de soutiens familiaux, d’éducation, de santé, d’enclavement, financiers…) perçoivent encore mal l’intérêt de vivre une telle expérience à l’international. De plus, leurs accompagnants travaillant au sein de bureaux information jeunesse, missions locales, associations d’éducation populaire…ont tendance à considérer ces projets comme de véritables parcours du combattant ce qui les décourage parfois à accompagner les jeunes dans cette voie.
Pour en savoir plus : Profession Banlieue – Organisation du forum du 04 avril 2018