La montée en puissance de l’intercommunalité, rendue obligatoire par la loi Lamy de 2014, se heurte aux spécificités de terrain. Pour les techniciens de la politique de la ville qui s’étaient donné rendez-vous à Marseille les 18 et 19 mai à l’appel de l’Inter-réseau du développement social urbain, l’échelon intercommunal constitue sans aucun doute le bon niveau mais fait courir le risque d’une dissociation entre l’humain (action sociale) et le bâti (rénovation urbaine). Les acteurs doivent rester concentrés sur la logique de contrats de ville qui ne doit pas venir heurter la démarche du projet de territoire qui se dessine…
Pour en savoir plus :
– Gazette Santé Social – du 22 mai 2017
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