Les grands débats autour de la mise en régie des services publics, du logement social et des polices municipales s’effacent au profit d’une approche technicienne, pour ne pas dire technocratique, des grandes politiques locales. Avec la baisse des concours financiers de l’État et l’absence de véritable réforme de la fiscalité, l’heure est aux coupes budgétaires. Peu à peu, le fameux « there is no alternative » cher à Margaret Thatcher gagne la sphère des collectivités. Tramway, piétonnisation des centres-villes et densification : les métropoles partagent peu ou prou les mêmes priorités. A l’origine imaginées par des maires militants PS, ces politiques ont été reprises partout, dopant la rente immobilière…
Pour en savoir plus :
– www.lagazettedescommunes.com – du 2 novembre 2016
