De même que la pose de bracelets électroniques pour les personnes assignées à résidence dans le cadre de l’état d’urgence reposera sur le volontariat, les centres de « déradicalisation » nécessiteront l’accord des individus concernés. Du moins tant que les individus en question n’ont pas franchi le pas de partir en Syrie ou dans une autre zone de conflit…
Pour en savoir plus :
– www.localtis.info – du 1er décembre 2015
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