Dans les banlieues, demande de sécurité et craintes des « regards de travers »

 La peur, on essaie de la mettre de côté. » C’est comme un refrain qu’on entend du Blanc-Mesnil à Sarcelles en passant par Clichy-sous-Bois et Cergy. Comme les Parisiens, les habitants de ces banlieues de Seine-Saint-Denis et du Val-d’Oise continuent à vivre, travailler, faire leurs courses, malgré l’état d’urgence. Après les attentats, ils ont comme tout le monde été horrifiés, sidérés. Ils sont aussi inquiets des conséquences des mesures de sécurité mises en place, surtout dans leurs quartiers où le rapport à la police est souvent fait d’incompréhension et de suspicion réciproque…

Pour en savoir plus :
http://abonnes.lemonde.fr – du 28 novembre 2015

 

 

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