C’est un ministre relativement peu connu qui s’était trouvé en première ligne après les attentats de janvier 2015. Patrick Kanner, à la tête du ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports avait alors déroulé une multitude de mesures pour comprendre pourquoi des jeunes des quartiers populaires criaient ouvertement leur détestation de Charlie Hebdo.
Dix mois plus tard, la capitale est de nouveau ensanglantée. Invité mercredi devant la presse parlementaire (AJP), Patrick Kanner analyse: «Il n’y a pas eu cette volonté, comme en janvier 2015, d’amalgame entre jeunesse en difficulté, terrrorisme, crimes et quartiers prioritaires».
Pour en savoir plus :
– http://www.lefigaro.fr – du 26 novembre 2015
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